Le stage de préparation de l’équipe nationale de football algérienne s’est transformé en une série de problèmes et de controverses, laissant place à des inquiétudes croissantes dans le monde du sport.
Dès le début, le choix du lieu de rassemblement des joueurs a été source de conflits et de complications. Les responsables ont semblé fuir leurs responsabilités, laissant la situation atteindre un point critique. Cependant, après un début tumultueux, l’entraîneur national, Belmadi, a exprimé sa frustration concernant les conditions du stage.
Il a vivement critiqué l’état de la pelouse d’entraînement, la qualifiant de déplorable et indigne du statut de l’équipe nationale. Les médias ont relayé ces préoccupations, mettant encore plus de pression sur les responsables du football algérien.
Les décisions prises dans la foulée n’ont pas contribué à renforcer le prestige du football algérien, qui doit se préparer à des échéances importantes. En outre, la gestion de l’élection d’un nouveau président pour l’entité responsable du football en Algérie est devenue une source de préoccupations supplémentaires, exacerbant les tensions au sein de la fédération.
L’Algérie nourrit des aspirations à organiser la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) dans un proche avenir, mais ces récentes controverses ont semé le doute quant à la capacité du pays à accueillir cet événement. Les candidatures concurrentes du Maroc et du Sénégal pour les éditions de 2025 et 2027 ont pris de l’ampleur, soulevant des inquiétudes quant aux coulisses de la politique sportive.
